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Une fine couche de sable est étendue sur le sol, sur laquelle s’inscrit la trace de chaque geste ou déplacement.

C’est une tentative de reconstituer une mémoire commune et intime, dont l’aspect fragmentaire est réorganisé par un jeu reposant sur des règles et des codes définis à l’avance.

 

Tous présents sur un même plan, le sable, la lumière, le public, nos mouvements, les traces laissées dans le sable pas nos actions successives participent à une constante construction, déconstruction de l’espace. Ce dernier, éphémère, est l’analogie formelle d’une mémoire fragile, fragmentaire et évolutive.

 

Performance réalisée en collaboration avec Gaëtan Rusquet, présentée à La Bellone en 2009 et aux Halles de Schaerbeek en 2010.

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