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Les habitants du village et les passants étaient invités à laisser leurs empreintes dans du sable, elles ont ensuite été moulées en béton, pour former un chemin de dalles.

Le sentier est considéré comme une métaphore d’un chemin de vie. «Je suis passé» en est une portion, il garde une trace du passage d’anonymes, dont les chemins se sont croisés en cet endroit. Elle crée les fossiles d’une archéologie fictive.
Cette installation questionne la mémoire du lieu. Elle met en valeur le fait qu’il soit porteur d’histoire(s). Elle invite le visiteur, au-delàde l’installation, àchercher les indices du passédu lieu.
L’installation se fond dans le paysage, épouse son relief. Presque imperceptible de loin, elle n’apparaît dans son ensemble qu’àcelui qui marche.
 

Installation réalisée dans le cadre du festival Sentes 2014.

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